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fleur bleue

La Grâce

La Grâce

Ben-Hur: A Tale of The Christ, Fred Niblo, 1925 Les films avec Jésus dedans sont presque tous fabuleux. C'est qu'ils sont comme touchés par la grâce seigneuriale, ce qui, d'un point de vue totalement rationnel, peut s'expliquer par un surplus d'implication...

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Le Héros du Peuple

Le Héros du Peuple

Senna, Asif Kapadia, 2010 Quand j'étais petit, je n'avais pas la télévision, et quand je l'ai enfin eue, on ne regardait de toute façon pas le sport à la maison. Et pourtant je savais qui étais Ayrton Senna, parce que c'était un héros de cour de récréation....

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Pleurer pour des Singes

Pleurer pour des Singes

Rise of the Planet of the Apes, Rupert Wyatt, 2011 Rise of the Planet of the Apes est un beau film de science-fiction parce qu'il part d'un postulat scientifique pour disserter sur la morale et créer de la poésie. C'est un beau film tout court parce qu'il...

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Ascèse

Ascèse

Hardcore, Paul Schrader, 1979 Je donne sans doute parfois l'impression d'une certaine nostalgie des vedettes viriles à l'ancienne, rocailleuses, rudes, qui ont plus l'air d'être que de jouer. Pas que je déteste le method-acting, Sean Penn ou Robert De...

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Crade élégant

Crade élégant

Beatrice Cenci, Lucio Fulci, 1969 Les films de Fulci d'avant sa glorieuse mais brève période horrifique sont suffisamment peu connus pour que celui-ci présente au moins un intérêt historique. C'est un drame en costume dans la lignée de Cottafavi et compagnie,...

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By the Rivers of Babylon

By the Rivers of Babylon

3 Godfathers, John Ford, 1948 Si vraiment il fallait répondre à la question : à quoi sert le cinéma ?, je pourrais répondre, moi salopard mécréant, devant ce film et quelques autres : à croire que Dieu existe. 3 Godfathers est un film qui montre Dieu,...

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Après-Guerre

Après-Guerre

An American in Paris, Vincente Minnelli, 1951 Les périodes de fêtes sont souvent l'occasion de vérifier l'efficacité persistante du grandclassiquehollywoodien, qui sur le téléviseur familial s'accorde plutôt bien avec la bûche et le champagne. Le grandclassiquehollywoodien...

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Don't You Forget about Me

Don't You Forget about Me

The Breakfast Club, John Hughes, 1985 Oui d'accord, John Hughes n'était certainement pas le grand cinéaste du siècle, ni même celui des années 80, décennie formidable et détestable indissociable de sa courte oeuvre. Mais, avec leur sens du détail et leur...

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